Parlons culture : Nouvelles idées, nouvelles perspectives (Emily Grostern)
Habituellement, nous questionnons chaque mois un associé de Richter pour découvrir comment les dirigeants trouvent l’équilibre et la concentration nécessaires pour occuper un emploi exigeant, et quelles sont les compétences non techniques qui contribuent à leur succès.
Toutefois… nous changeons la formule pour l’été. Au cours des prochaines semaines, nous nous entretiendrons avec nos stagiaires d’été afin d’en apprendre davantage sur leur expérience chez Richter et leur vie professionnelle en tout début de carrière.
Ce numéro met en vedette Emily Grostern, stagiaire du groupe de l’Audit.
Vous êtes chez Richter depuis presque un mois, parlez-nous de votre expérience. Sur quoi avez-vous travaillé jusqu’à maintenant?
J’étais nerveuse au départ, parce que je n’avais jamais travaillé à temps plein dans un cabinet. Après les semaines de formation, je me sentais déjà plus à l’aise. Même si j’ai suivi des cours de comptabilité, j’ai vite compris que le travail est bien différent de ce qu’on apprend en classe. J’apprends chaque jour de nouvelles notions sur différents sujets et processus, et j’ai déjà participé à quelques mandats de clients.
Quelles étaient vos attentes à l’égard de ce programme de stages? Est-il conforme à vos attentes ou avez-vous été surpris par certains aspects?
Au début, je ne savais pas à quoi m’attendre. Je n’ai pas encore terminé mon baccalauréat et j’étais inquiète avant le début du stage parce que j’ai encore tellement de choses à apprendre. Maintenant que quelques semaines sont passées, je peux dire que l’expérience est très intéressante et que j’aime le travail encore plus que je ne l’aurais cru. En ce moment, je travaille sur un dossier avec plusieurs autres personnes. Nous sommes tous assis dans la même salle, ce qui favorise le travail d’équipe et la collaboration. Tous mes collègues sont disponibles pour m’aider et répondre à mes questions. De plus, tout ce que j’aurai appris d’ici la fin de l’été m’aidera beaucoup lorsque je retournerai sur les bancs de l’université à l’automne.
Quelles compétences souhaitez-vous développer d’ici le reste de l’été? Quelles compétences fonctionnelles ou techniques voudriez-vous développer?
Du point de vue des compétences techniques, je n’ai jamais été très à l’aise avec Excel et les logiciels de ce genre. Au cours du dernier mois, j’ai appris beaucoup plus que par le passé et j’espère continuer de m’améliorer d’ici la fin de l’été. Pour les compétences fonctionnelles, je pense que le processus de recrutement et le travail avec des personnes ouvertes m’aident à devenir moins timide. Tous les gens sont accueillants et je sais que je peux compter sur leur aide.
Qu’est-ce que vous préférez au cabinet jusqu’à maintenant?
J’adore les gens ici, de même que la façon dont nous travaillons en équipe! Tous les jours, nous apprenons de nouvelles notions grâce à l’expérience de chacun. D’autres personnes, qui travaillent à temps plein au cabinet, mais qui sont nouvelles, ne savent pas encore tout ce qu’il y a à savoir sur le métier. Il est rassurant de voir que chacun peut apprendre de nouvelles choses et que nous pouvons partager nos connaissances.
Quel conseil donneriez-vous à un jeune étudiant à la recherche d’un stage dans un cabinet comme Richter?
Je lui dirais de surmonter sa timidité et de rester lui-même. Je suis timide et faire connaissance avec de nouvelles personnes m’a toujours rendue très nerveuse. Durant les activités de recrutement, j’ai compris que les gens souhaitent savoir qui nous sommes au-delà de notre CV. Il est important de réaliser que pour réussir et trouver sa place, il faut demeurer fidèle à soi-même.
Chaque été, les stagiaires de Richter sont invités à organiser des activités de financement afin de recueillir des fonds pour l’organisme de leur choix. Pouvez-vous nous parler de ces activités?
Bien sûr! Cette année, les stagiaires d’été ont convenu de choisir un organisme de bienfaisance local auquel les gens s’identifient. Nous souhaitons que les employés puissent voir les bienfaits de leurs dons et se sentent engagés envers la cause. Nous voulions également choisir un organisme venant en aide aux enfants. Pour toutes ces raisons, nous avons arrêté notre choix sur la Fondation Pour enfants seulement dont l’objectif est d’acquérir des appareils médicaux essentiels pour l’Hôpital de Montréal pour enfants. Si nous recueillons un montant précis, la Fondation mettra une plaque au nom de Richter sur un appareil.
Pour atteindre notre objectif, nous avons prévu plusieurs activités au cours de l’été. Nous avons commencé par une vente de pâtisseries au bureau de Montréal. Comme la vente a connu un vif succès, nous avons prévu la répéter. Nous voulions aussi organiser des activités auxquelles les employés auraient envie de participer, comme une séance de yoga au bureau ou une activité de spinning. Enfin, nous avons prévu un tirage qui aura lieu lors de l’activité d’été du cabinet, ainsi qu’un 5 à 7 en août. Participer à un vrai projet de groupe est une expérience incroyable. Je suis fière de représenter Richter lorsque je communique avec des gens ou des entreprises pour demander des commandites. C’est très motivant de faire quelque chose qui aura des répercussions sur notre collectivité, et je me sens choyée que Richter nous donne l’occasion de faire une différence.