Parlons culture : Nouvelles idées, nouvelles perspectives (Arie Pesner)
Habituellement, nous questionnons chaque mois un associé de Richter pour découvrir comment les dirigeants trouvent l’équilibre et la concentration nécessaires pour occuper un emploi exigeant, et quelles sont les compétences non techniques qui contribuent à leur succès.
Toutefois… nous changeons la formule pour l’été. Au cours des prochaines semaines, nous nous entretiendrons avec nos stagiaires d’été afin d’en apprendre davantage sur leur expérience chez Richter et leur vie professionnelle en tout début de carrière.
Ce numéro met en vedette Arie Pesner, stagiaire dans le groupe de l’Audit.
Vous êtes chez Richter depuis presque un mois, parlez-nous de votre expérience. Sur quoi avez-vous travaillé jusqu’à maintenant?
Comme c’est mon premier emploi en audit, je ne savais pas à quoi m’attendre lorsque je suis arrivée. Je suis très heureuse de mon expérience. Jusqu’à maintenant, j’ai travaillé sur deux avis aux lecteurs et un examen et j’ai très hâte de participer à mon premier audit la semaine prochaine. Je vais enfin rencontrer un client! Quand j’ai vu à quel point tout le monde ici est accessible et prêt à nous aider, cela m’a rassurée. Je sais que je peux poser des questions à tous mes collègues sans avoir l’impression de les importuner.
Quelles étaient vos attentes à l’égard de ce programme de stages? Est-il conforme à vos attentes ou avez-vous été surpris par certains aspects?
Avant le début du stage, j’étais nerveuse parce que je n’ai pas encore suivi de cours d’audit et je ne savais pas si je travaillerais immédiatement avec de vrais clients ou sur de vrais dossiers. Au cours des deux premières semaines, nous étions tous en formation afin d’apprendre toutes les notions essentielles. Cela représentait beaucoup d’information à retenir et je ne savais pas à quel point je pourrais tout mémoriser. J’en ai finalement retenu une bonne partie parce que chaque fois que j’entreprends une nouvelle tâche et qu’il y a de nouveaux éléments, je me souviens les avoir vus en formation. Je pense que ces deux semaines de formations m’ont vraiment aidée à me sentir mieux préparée.
« Je dois avouer que j’adore venir ici tous les jours! D’ailleurs, notre formation s’est terminée avant la longue fin de semaine de mai, et j’avais vraiment hâte de revenir au travail le mardi suivant! »
Quelles compétences souhaitez-vous développer d’ici le reste de l’été? Quelles compétences fonctionnelles ou techniques voudriez-vous développer?
Je souhaite bien sûr approfondir mes connaissances en comptabilité. J’ai hâte de participer à un premier mandat d’audit et de mettre en pratique les notions vues en formation. Pour ce qui est des compétences fonctionnelles, je crois que rencontrer des clients et interagir avec eux sera une bonne manière d’améliorer mes compétences en communication.
Qu’est-ce que vous préférez au cabinet jusqu’à maintenant?
Je dois avouer que j’adore venir ici tous les jours! D’ailleurs, notre formation s’est terminée avant la longue fin de semaine de mai, et j’avais vraiment hâte de revenir au travail le mardi suivant! Nous sommes 17 stagiaires et nous avons tissé des liens forts. Nous nous entraidons avec nos dossiers. Si l’un de nous a une question, nous tentons d’abord de trouver une réponse tous ensemble. C’est rassurant de savoir que nous vivons tous la même chose. Je suis très reconnaissance du fait que tout le monde est gentil au cabinet – des juniors aux associés – et souhaite nous voir réussir.
J’aime aussi le fait que les stagiaires effectuent des rotations durant l’été afin d’expérimenter d’autres domaines de pratique (nous commençons tous en audit). Par exemple, j’ai donné un coup de main en Restructuration américaine durant la deuxième semaine de juin, et en juillet, je travaillerai avec le Groupe Entreprise. Mon travail ressemble à ce que je fais en audit, mais je suis heureuse de pouvoir ajouter des cordes à mon arc!
Quel conseil donneriez-vous à un jeune étudiant à la recherche d’un stage dans un cabinet comme Richter?
Je lui conseillerais d’assister à toutes les activités de recrutement du cabinet afin de parler à plusieurs employés différents parce que l’expérience de chaque personne est unique. Au début, je trouvais intimidant, en tant qu’étudiante, d’aller parler à autant de gens, mais je m’y suis habituée. J’ai pris soin de poser le plus de questions possibles pour prendre la bonne décision. Pendant les activités de recrutement, les membres de Richter affirmaient que leur cabinet était une famille. Maintenant que j’y ai travaillé plus d’un mois, je comprends bien ce qu’ils voulaient dire. Il est important de choisir un endroit qui nous ressemble et c’est en parlant avec les gens qui y travaillent qu’on peut savoir si un cabinet prône des valeurs semblables aux nôtres.
Chaque été, les stagiaires de Richter sont invités à organiser des activités de financement afin de recueillir des fonds pour l’organisme de leur choix. Pouvez-vous nous parler de ces activités?
Cette année, nous avons choisi de soutenir la Fondation Pour enfants seulement. Pour atteindre notre objectif, nous avons organisé plusieurs activités : une vente de pâtisseries – qui a connu un si vif succès que nous en avons tenu une seconde en juillet – une séance de yoga, du spinning, un tirage et un encan silencieux. Au début de juin, j’ai pu participer à la campagne de financement et cette expérience a été très motivante. J’ai communiqué avec plusieurs entreprises afin de leur demander des commandites pour notre tirage. Je suis fière de pouvoir contribuer au succès de ces événements et j’espère que nous recueillerons un montant considérable! Ce projet de collecte de fonds m’a permis de constater l’importance de l’engagement envers la collectivité chez Richter, et cette valeur du cabinet me plaît énormément.